30 mai 2009
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20:32
Lundi 18 mai, 15h30
J'arrive à 15h35.
Je l'attend gentiment dans la salle vide.
Ne le voyant pas arriver, je dis à voix basse "bon sang, j'en étais sûre! Il va encore me faire attendre une demi-heure...".
Soudain, miracle, il apparaît.
Je ne sais pas s'il a entendu mes propos... M'enfin, peut importe.
Je voudrais parler, mais j'y arrive pas.
Je suis comme paralysée.
-"Pourquoi restez-vous silencieuse?"
Je ne répondis pas.
Je pense que j'avais perdu confiance en lui...
Quelques minutes plus tard, je me força enfin à lui parler.
Je lui raconta quelques bride de souvenirs pêle-mêle: mon père à fait de la prison, les entreprises ratés,...
Puis je le regarde, son regard est dirigé vers sa montre posé sur la table.
Je m'arrête.
-"La séance va durer 20 ou 40 minutes? Lui demandais-je.
-Pourquoi est-ce que vous vous arrêtez?"
Je me tûs.
Le psy détourne la tête de la montre.
Je repris et continua mon récit désordonné.
Finalement, la séance se termina au bout d'une demi-heure.
Y a eu beaucoup de blanc... J'ai pas dis grand chose.
Sincèrement, je commence à regretter de ne pas m'être laisser aller à ce transfert, aux "sentiments" que j'éprouvais pour lui. Ca me permettait d'avancer, de changer mon comportement, régler certains problèmes qui me rongeait depuis longtemps... Je crois.
Mais là, je me sens complètement hermétique.
Je n'ai plus envie de parler.
Je stagne.
Pour essayer d'avancer, j'ai décider d'appeller à une cmp. J'ai eu un rendez-vous avec une infirmière qui elle-même
C'est pour pallier la coupure de 2 mois qui m'attend avec le psy du bapu (vacances d'été)...
Et pour savoir si un autre psy pourrai mieux me convenir.
Compte rendu de la 9ème consultation jeudi.
J'arrive à 15h35.
Je l'attend gentiment dans la salle vide.
Ne le voyant pas arriver, je dis à voix basse "bon sang, j'en étais sûre! Il va encore me faire attendre une demi-heure...".
Soudain, miracle, il apparaît.
Je ne sais pas s'il a entendu mes propos... M'enfin, peut importe.
Je voudrais parler, mais j'y arrive pas.
Je suis comme paralysée.
-"Pourquoi restez-vous silencieuse?"
Je ne répondis pas.
Je pense que j'avais perdu confiance en lui...
Quelques minutes plus tard, je me força enfin à lui parler.
Je lui raconta quelques bride de souvenirs pêle-mêle: mon père à fait de la prison, les entreprises ratés,...
Puis je le regarde, son regard est dirigé vers sa montre posé sur la table.
Je m'arrête.
-"La séance va durer 20 ou 40 minutes? Lui demandais-je.
-Pourquoi est-ce que vous vous arrêtez?"
Je me tûs.
Le psy détourne la tête de la montre.
Je repris et continua mon récit désordonné.
Finalement, la séance se termina au bout d'une demi-heure.
Y a eu beaucoup de blanc... J'ai pas dis grand chose.
Sincèrement, je commence à regretter de ne pas m'être laisser aller à ce transfert, aux "sentiments" que j'éprouvais pour lui. Ca me permettait d'avancer, de changer mon comportement, régler certains problèmes qui me rongeait depuis longtemps... Je crois.
Mais là, je me sens complètement hermétique.
Je n'ai plus envie de parler.
Je stagne.
Pour essayer d'avancer, j'ai décider d'appeller à une cmp. J'ai eu un rendez-vous avec une infirmière qui elle-même
C'est pour pallier la coupure de 2 mois qui m'attend avec le psy du bapu (vacances d'été)...
Et pour savoir si un autre psy pourrai mieux me convenir.
Compte rendu de la 9ème consultation jeudi.